La genèse

La saga Opium est née d’une volonté de tester ma capacité à écrire de l’horreur, genre que j’affectionne tout particulièrement.

Elle contient une culture ésotérique qui a baigné mon enfance. Il ne s’agit pas réellement de mes croyances, mais plutôt de ce qu’on m’a appris à croire.

De la même manière, le personnage principal est fortement inspiré de parties de moi-même, de ce que je ne voudrais pas être, mais que j’aurais pu devenir, en l’absence d’esprit critique, de culture scientifique et de conformisme. Car après tout, écrire de l’horreur, c’est détester suffisamment son personnage pour le faire souffrir, tout en l’aimant assez pour le sauver à la fin.

L’histoire

Opium, c’est l’histoire d’Alice, 31 ans, informaticienne au chômage, qui retourne vivre chez sa mère dans les Pyrénées Orientales, en bord de Méditerranée. Un cadre idyllique, idéal pour se retourner, malgré son addiction aux opiacés, héritée d’un grave accident, quelques années auparavant. Du moins jusqu’à l’incendie, à quelques kilomètres de chez elle, dans lequel le petit Arthur a disparu. Un incendie qui lui rappelle beaucoup le rêve qu’elle a fait la nuit précédente. Et si elle possédait un don, une sorte de connexion mystique avec l’enfant, qui pourrait lui permettre de le retrouver ? Commence alors une folle épopée tout aussi ésotérique que macabre qui va l’entraîner au plus profond de l’horreur.

A suivre…

Le tome 2 est prévu pour mi-août.